DU VENIN CHEZ BLUE UNDERGROUND

15 mars 2016 
DU VENIN CHEZ BLUE UNDERGROUND

Sorti dans les salles au début des années 80 en France, VENIN mixait deux genres : le film d’attaques animales et le «home invasion». Avec sa distribution enthousiasmante (Oliver Reed, Klaus Kinski, Sterling Hayden, Susan George...), le film de Piers Haggard va de nouveau faire parler de lui à la fin du mois de mai. En effet, Blue Underground le ressort dans un combo Blu-ray/DVD disposant d’un tout nouveau transfert en haute définition. Cette sortie est d’autant plus intéressante qu’elle va supplanter le DVD français sorti l’année dernière, puisque cette nouvelle édition américaine disposera de sous-titrages en français et ne sera pas protégée par un codage régional, ce qui lui permettra de fonctionner sans problème sur les lecteurs européens ! Si le film sera sous-titré en français, cette nouvelle édition ne disposera que de pistes anglaises, dont des mixages en DTS HD Master Audio 7.1 (pour le Blu-ray) et DTS-ES (pour le DVD). En ce qui concerne le son, l’éditeur proposera aussi, pour les puristes, le mixage original en stéréo. Pas de surprise en ce qui concerne les suppléments, ce seront les mêmes que ceux qui étaient proposés sur le DVD édité par Blue Underground, et que nous avions chroniqués en 2003 au moment de sa sortie. On retrouvera donc le commentaire audio du réalisateur, les bandes-annonces et les galeries de photos. Seul nouveau bonus, un livret a été concocté spécialement pour cette édition. Vous pouvez retrouver ci-dessous le visuel de la nouvelle édition, différent du DVD de 2003. Pour ce dernier, vous pouvez jeter un œil à notre chronique.

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Jaquette : VENOM
Critiques
Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
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