UN BLU RAY POUR VILLMARK 2

12 janvier 2016 
UN BLU RAY POUR VILLMARK 2

Sorti en 2003, VILLMARK (DARK WOODS pour l'international) a fait son petit effet. Enorme succès lors de sa sortie dans les pays scandianves, avec son petit groupe de personnages cédant à la paranoïa et la peur dans un lieu reculé de la Norvège. Le réalisateur Pål Øie  a depuis donné un autre film fantastique nommé SKJULT (HIDDEN), avec le même héros que VILLMARK, à savoir Kristoffer Joner, héros du récent BOLGEN.

Arrive donc VILLMARK 2 (DARK WOODS 2), toujours co-écrit et réalisé par Pål Øie , avec l'un des acteurs les plus en vue en Norvège, soit Anders Baasmo Christiansen (LE SECRET DE L'ETOILE DU NORD). Qui reprend la même structure qie VILLMARK, et transpose l'ensemble avec une équipe médico-légale envoyée dans un sanatorium abandonné qui va être détruit. Ceci afin de tracer la présence d'éventuels matériaux nocifs. Le batiment est cependant juste à côté du campement où se sont déroulés les événements tragiques 13 ans auparavant. Fatalement, le batiment va commencer à révéler des secrets bien plus épouvantables que sa fonction première n'était supposée le faire.

Sorti le 9 octobre 2015 au cinéma en Norvège, il vient à peine de faire ses débuts en DVD et Blu Ray dans son pays d'origine. Bonne surprise pour les amateurs anglophones de frissons et autres débordements sanguinolents, le Blu Ray est doté de sous-titres anglais concernant le long métrage.

Au format de 2.40:1, avec une piste DTS HD MA 5.1 norvégienne et sous-titres anglais (en plus des sous-titres norvégien, finlandais, suédois et danois), en 1080p, codé zone B, et d'une durée de 93 mn.

Un making of, ainsi qu'un film annonce, eux hélas non sous-titrés. Et c'est Warner qui s'occupe de la sortie de la galette.

On vous en dira un peu plus d'ici peu de temps ! Et pour patienter, voici le visuel du Blu Ray et la critique du précédent film du réalisateur, SKJULT:

 

 

Critiques
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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