GODZILLA DEVORE LES SPECTATEURS

16 mai 2014 
GODZILLA DEVORE LES SPECTATEURS Le remake/reboot/re-ce-que-vous voulez GODZILLA de Gareth Edwards remporte très largement les faveurs du public. 152 505 entrées sur 596 copies. pour la journée du mercredi 14 mai Ceci posé, ça ne ressemble en rien aux résultats de films similaire. Si le film démarre avec 50% d'entrées de plus que CLOVERFIELD (qui avait terminé sa course à presque 850 000 tickets), ça reste sous le KING KONG de Peter Jackson et ses 3.6 millions de spectateurs.
 Il y a moyen que le film glane plus de deux millions de tickets au final, hormis un bouche à oreille extrêmement favorable. Suffisant pour une franchise à part? La Toho saura-t-elle rester de marbre?
On verra la semaine prochaine avec la sortie du très attendu X-MEN : DAYS OF FUTURE PAST qui va empiéter sur le plates-bandes du monstre atomique.

Sinon, pour les films déjà sortis, THE BABY termine sa première semaine avec 116 708 entrées : un score honorable vu le peu de copies en circulation, mais avec des résultats qui vont gravement dévisser en seconde semaine. La grossesse maléfique ne porte pas les fruits espérés.

SABOTAGE s'enterre doucement avec à peine 88 000 nostalgiques d'un Schwarzenegger fatigué.

Pas de miracle pour NOE qui malgré ses 1.3 millions d'entrées a finit par prendre l'eau. pour une superproduction de cet accabit, le résultat est insuffisant pour pleinement rentabiliser le produit. On échappera donc à une séquelle!

Pas de chance pour Luc Besson : le remake de BANLIEUE 13, à savoir BRICK MANSIONS, suit la pente douce des bides avec 313 000 entrées et une chute de pus de 62% de ses entrées par rapport à la semaine précédente.

Et CAPTAIN AMERICA LE SOLDAT DE L'HIVER voit ses entrées fondre graduellement, même si ses 1.8 millions d'amateurs français donnent un bien meilleur succès que le premier. Quid du troisième opus?
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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