BOX OFFICE : LEGO DOMINE... DE PEU

20 février 2014 
BOX OFFICE : LEGO DOMINE... DE PEU

Les premières entrées cinéma sur Paris dénotent la domination légère de LA GRANDE AVENTURE LEGO  (2 657 entrées sur 21 copies) devant le comédie LE CROCODILE DU BOTSWANGA (2 639 entrées sur 19 copies)  qui rencontre un succès surprise et devrait allègrement  voguer vers ses 2 millions d'entrées! 

Pour POMPEII, ça sera plus dur car avec 1 260 entrées sur 12 copies, on devra ttendre les résultats Périphérie et Province pour savoir si Paul W.S Anderson rencontre (enfin) le grand public.

TARZAN aura des difficultés avec la concurrence rude des films pour gamin pendant ces vanaces d'hiver, seuls 916 personnes ont saisi une liane aux premières seances d'hier.

Pour les résultats de la semaine passée, si le boxoffice français est dominé par LES 3 FRERES LE RETOUR (1.1 millions de tickets vendus en 7 jours), LA BELLE ET LA BETE version Christophe Gans pointe à 658 553 entrées sur ses 567 copies. Une belle performance, mais sera-t-elle suffisante à la vue du budget de plus de 30 millions d'euros? Le bouche à oreille aura-t-il raison?

Côté fantastique, vacances obligent, c'est M. PEABODY ET SHERMAN qui arrive juste derrière avec un résultat décevant de 285 232 entrées. MINUSCULE continue son bonhomme de chemins et cumule près de 850 000 entrées en trois semaines. Ca sera par contre plus dur pour ROBOCOP version 2014, perdant 47% de ses entrées à 530 000 en deux semaines d'exploitation.

Au rayon des échecs: JACK ET LA MECANIQUE DU COEUR plafonne à 300 000 tickets, TEMPETE DE BOULETTES GEANTES 2 à 320 000, I FRANKENSTEIN dévisse en 3e semaine à 265 000 entrées au compteur.

Pas grand chose à se mettre sous la dent prochainement, hormis une reprise parsienne de M LE MAUDIT, la sortie de GOAL OF THE DEAD et le 5 mars 300 :LA NAISSANCE D'UN EMPIRE ou le teen-movie VAMPIRE ACADEMY.

Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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