BATTLE GIRL : THE LIVING DEAD IN TOKYO BAY

25 janvier 2010 
BATTLE GIRL : THE LIVING DEAD IN TOKYO BAY

Synapse Films s'était déjà intéressé aux travaux de Kazuo Komizu en sortant des éditions DVD des bizarres ENTRAILS OF A VIRGIN et ENTRAILS OF A BEAUTIFUL WOMAN où se mêlaient démons, érotisme et fétichisme, un domaine où les Japonais sont rois. Environ six années après ces deux éditions DVD, Synapse Films proposera prochainement un autre film de Kazuo Komizu avec un plus récent BATTLE GIRL : THE LIVING DEAD IN TOKYO BAY. On pourrait penser que le cinéaste japonais suit le mouvement qui a déterré les morts-vivants au cinéma. Néanmoins, il ne sera pas possible de taxer d'opportunisme Kazuo Komizu puisque son film daterait du début des années 90. Ce BATTLE GIRL : THE LIVING DEAD IN TOKYO BAY expose la chute d'une météorite sur l'archipel du Japon. Une catastrophe qui s'avère un peu anodine si l'on y ajoute qu'un virus extraterrestre contamine les environs et provoquent la réanimation des morts. Puisque c'est un film japonais, on cherche le salut du côté d'une jeune femme, accessoirement une véritable catcheuse et non pas une actrice, que l'on équipe d'une combinaison de combat. Il ne lui reste plus qu'à aller flinguer du zombie tout en essayant de déjouer un complot militaire. Pour découvrir ce film, il faudra patienter jusqu'au 23 février où cette édition de BATTLE GIRL : THE LIVING DEAD IN TOKYO BAY sortira aux Etats-Unis. L'éditeur annonce un transfert plein cadre d'origine avec une piste japonaise en stéréo qui sera traduite via des sous-titrages en anglais. Kazuo Komizu doit être sacrément bavard car le seul supplément annoncé est une interview de 53 minutes !

Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
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