CRITIQUE : I DUE VOLTI DELLA PAURA

16 novembre 2017 
CRITIQUE : I DUE VOLTI DELLA PAURA

A raison de plusieurs sorties par mois dans les années 70, le thriller à l'italienne, ou Giallo pour les intimes dans les soirées cinéphiles pointues, provoqua nombre d'avatars. Avec des productions à la fois transalpines à 100% ...mais aussi adossées à la France, l'Allemagne ou l'Espagne.

Ca tombe bien, parce qu'on vous parle aujourd'hui d'un thriller assez peu connu, I DUE VOLTI DELLA PAURA (ou LES 2 VISAGES DE LA PEUR pour la traduction), du réalisateur argentin Tulio Demicheli (DRACULA CONTRE FRANKENSTEIN). Qui fut produit par l'Italie via la BRC Produzione de Rome et la Tecisa de Madrid.

Trève de palabres : il faut immédiatement retrouver la sublime Anita Strindberg, le fringant George Hilton, Luciana Paluzzi en mode Marguerite Gautier et le machiavélique Eduardo Fajardo dans une sombre histoire de meurtre au sein d'une clinique richissime, et une opération à coeur ouvert à ne pas mettre devant tous les yeux. Cliquez sur l'affiche ci-dessous afin de tout savoir (ou presque) :

LES 2 VISAGES DE LA PEUR :

Critiques
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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