CRITIQUE : DELIRIUM

26 septembre 2017 
CRITIQUE : DELIRIUM

Lamberto Bava effectue un retour remarqué en Blu Ray ces derniers temps. Pas en France, hormis BAISER MACABRE, puisque l'ensemble des éditeurs francophones semblent s'en désintéresser totalement. Une fois de plus, il faut se diriger à la fois aux USA et en Grande Bretagne avec des éditions plus ou moins fournies de BLASTFIGHTER ou encore BODY PUZZLE.

On s'intéresse toutefois à l'édition américaine de son Giallo quelque peu cochon: DELIRIUM. Sorti le 10 avril 1987 en Italie, le film ne connut cependant pas de sortie salles en France. Il arriva directement en VHS dans la collection "Festival d'Avoriaz en Vidéo" chez Sergio Gobbi Vidéo. Toute une époque !

Voous allez donc pouvoir retrouver la généreuse Serena Grandi, propriétaire d'un magazine de charme, torturée par un maniaque qui tue les personnes de son entourage... dans une splendeur HD insoupçonnée.  DELIRIUM avait connu les honneurs d'un DVD Zone 1 que nous avions déjà chroniqué il y a 4 ans... Et c'est du côté de chez Code Red que l'on trouve le Blu Ray le plus intéressant, bourré de suppléments tournés pour l'occasion. Dont un avec George Eastman qui se lâche, quitte à passer pour un gros con.

Voici donc la critique de l'édition HD US, et, parce que vous aimez ça vous aussi, on vous remet celle du DVD sorti chez Shriek Show :

Critiques
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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