Header Critique : TERREUR SUR LA LAGUNE (SOLAMENTE NERO)

Critique du film et du Blu-ray Zone B
TERREUR SUR LA LAGUNE 1978

SOLAMENTE NERO 

Stefano (Lino Capolicchio) revient sur l'Ile de Murano, proche de Venise, afin de retrouver son frère (Craig Hill), prêtre de la paroisse. Le meurtre d'une médium a tôt fait de faire ressurgir celui inexpliqué d'une jeune fille quelques années auparavant… mais également des cauchemars pour Stefano. Le souci étant que le prêtre a été témoin de cet assassinat, sans voir le visage du tueur. Mais ce dernier se persuade du contraire. Donc commence à harceler le témoin gênant.

Antonio Bido réalisa en 1977 un Giallo roulant sans vergogne sur les plates-bandes de Dario Argento avec IL GATTO DAGLI OCCHI DI GIADA (trad : Le Chat aux Yeux de Jade), connu aussi sous le titre WATCH ME WHEN I KILL. Le film rencontre un certain succès, ce qui permit à Bido de pouvoir enchainer pour la même maison de production ce SOLAMENTE NERO, avec une carte blanche pour le projet. Nouveau Giallo, avec une situation géographique relativement peu prisée par les auteurs, à savoir le nord de l'Italie - Venise. Pas franchement nouveau non plus, puisqu'Aldo Lado fit le même choix pour QUI L'A VUE MOURIR?, tout comme Nicolas Roeg pour NE VOUS RETOURNEZ PAS. Le film rencontra un échec lors de sa sortie italienne, condamnant quelque peu sa distribution française qui se fit directement en video sous le titre OMBRES SANGUINAIRES ou TERREUR SUR LA LAGUNE en fonction des éditeurs… et c'est sous ce dernier titre que l'éditeur français Le Chat Qui Fume tente de sortir cet obscur film de l'ornière.

Autant le dire tout de suite, on ne comprend pas très bien le choix de TERREUR SUR LA LAGUNE pour une édition aussi spectaculaire. Tant celui-ci ne représente en rien une pépite oubliée, mais contient bien des signaux alarmants d'un genre en fin de vie. Et ce ne sont pas les moyens mis en oeuvre, importants ici, qui pourront l'élever au-dessus de la médiocrité ambiante. Antonio Bido a su se doter d'un budget confortable par rapport aux dernières excroissances bissardes du genre, type LA SOEUR D'URSULA ou encore l'exécrable PLAY MOTEL. On reconnait un choix précis d'une photographie hivernale douce, rappelant celui effectué par Giorgio Ferroni pour LA NUIT DES DIABLES - se déroulant lui aussi dans le Nord de l'Italie. Mais éloigné de tout gothique, débarrassé d'exagérations bissardes et mettant la pédale douce sur la violence… que reste-t-il? Une velléité de film d'auteur qui essaye d'élever le débat. Une très forte scène d'ouverture avec un style spécifique (un étranglement au ralenti saccadé du plus bel effet). Mais qui retombe comme un soufflé, souffrant d'un grave manque d'originalité - et victime d'un flagrant délit de copiage par dessus l'épaule du voisin.

On retrouve en effet les marques du Giallo : tueur aux mains gantées, agressions violentes, intrigue alambiquée, secret se nichant dans le passé - sans omettre l'inévitable bouteille de whisky J&B bien en évidence à de multiples reprises… mais Bido a décidément bien du mal à digérer les influences passées, principalement argentiennes. La principale différence entre Bido et Argento se trouvant dans le fait qu'Argento ne s'enracine pas dans un certain réalisme visuel. Si on remarque de clairs emprunts à Lucio Fulci (pour LA LONGUE NUIT DE L'EXORCISME) ou Aldo Lado, on se rend compte être en présence d'une copie assez outrée (qui ne dit pas franchement son nom) des FRISSONS DE L'ANGOISSE. Cela s'initie avec la scène du meurtre dont le prêtre est témoin, miroir inversé de celle où David Hemmings voit le meurtre de Macha Meril chez Dario Argento. Cela ne s'arrête pas là, avec le meurtre du Comte (Massimo Serato) qui fait furieusement penser à celui de Giordani dans LES FRISSONS DE L'ANGOISSE dans sa construction narrative!

Puis celui de la personne en fauteuil roulant est repiquée directement à celui du début de la BAIE SANGLANTE avec un soupçon de Rossella Falk dans JOUR MALEFIQUE ... Et le Médecin trainé par le bateau renvoie à Gabriele Lavia accroché au camion. Les gros plans sur les chaussures qui avancent dupliquent celles de l'assassin des… FRISSONS DE L'ANGOISSE. D'où vient aussi le choix d'une ancienne actrice du muet (Laura Nucci) se substitue à celui de Clara Calamai chez Argento, la solution gravitant autour d'une peinture chez Bido, un dessin mural chez Argento ou au pire le cadre dans L'OISEAU AU PLUMAGE DE CRISTAL). En pointant également le titre original SOLAMENTE NERO (« Seulement Noir ») se démarquant à peine de PROFONDO ROSSO (« Rouge profond »). Au bout du compte, ça ne transpire plus l'hommage, mais tombe carrément dans le quasi copier-coller. Le talent en moins. Comme si cela ne suffisait pas, ultime et fatal travers pour le final à La SUEURS FROIDES où Bido crie son admiration pour Hitchcock (cameo inclus!)- comme il l'indique dans l'un dès bonus de cette édition.

On ne regarde pas un Giallo pour bénéficier d'un déroulement forcément logique ou de raisons qui justement émanent d'une clarté absolue. Voir 7 SCIALLI DI SETTA GIALLA et son Modus Operandi parmi les plus saugrenus existants: mais... cela passait avec les ingrédients propres à l'histoire. Pour TERREUR SUR LA LAGUNE, le manque flagrant de logique et le ridicule tuent autant que le nébuleux assassin.

Emprunt de religiosité extrême perdue dans un océan de culpabilité catholique, on garde presque l'impression d'assister au premier Giallo fillioniste adoubé par la Manif pour tous. Les athées, les avorteuses clandestines, les homosexuels (mâtinés de soupçons pédophiles, bien évidemment), les meurtriers… tous adeptes de spiritisme, qui terrorisent le prêtre et ses ouailles restées bloquées sur la première moitié du XXe siècle. Un concentré de ce que la société considère comme corrompu (une grande habitude italienne à la limite de la facilité hypocrite!), aux mains des plus riches et des détenteurs du pouvoir. La tentative de meurtre avec la chute du christ (ah! l'image facile de la punition divine!)dans l'église est absurde et hautement improbable... en fait, tout ce qui a attrait à aller à l'encontre de la religion, de sa représentation ou de ses messages tiennent du mal et propre au caractère du meurtrier. Qui va s'empresser de faire passer ad patres ce petit monde. Ce n'est pas le revirement final qui changera grand chose. Parabole fantasmatique d'ailleurs assez intelligemment mise en scène sur le summum de l'hamartia catholique, sorte de déshonneur vite auto-absous, en définitive.

Le long métrage ne reste pas non plus exempt de scènes inutiles. La scène de fesses softcore sur tapitouffe blanc au coin du feu vaut aussi son pesant de lires dépréciées. Visiblement une obligation de la production, mais ce moment gratuit incongru dans le long métrage tentant de se dégager du caniveau du bis l'y fait retomber aussi sec. La scène de promenade en zodiac que la lagune ne sert là au ssi pas à grand chose, comme le reconnait par ailleurs Bido. Les bonus du film et le réalisateur précisent que le film a été tourné sur l'Ile de Murano, au large de Venise. Certains plans ont en effet été tournés sur cette ile populaire, loin de la bourgeoisie opulente de sa voisine Burano - presqu'en dehors du temps. Néanmoins, cette cohérence géographique n'est pas unitaire. La ballade de l'héroïne sur le vaporetto sont tournées à Venise même. Et, dommage, l'extrait illustrant les propos de Jean-François Rauger sur Murano montre précisément Stefania Casini devant l'Eglise Parrocchia Santa Maria Formosa qui se trouve… au coeur même de Venise, à quelques encablures de la Piazza San Marco.

Il n'y a en fait rien de vraiment mémorable au final, ni de véritablement original. Une ambition évidente mais truffée d'incohérences, d'emprunts qui en font un produit roublard repiquant ici et là des idées et thématiques dans un catalogue La Redoute bloqué à la page « Giallo ». Regardable car techniquement très au point, mais dénué d'intérêt - et trop long pour son propre bien.

TERREUR SUR LA LAGUNE compte s'abattre pour la première fois sur la France via Le Chat Qui Fume: une édition luxueuse contenant donc 4 Disques : un Blu Ray, 2 DVD et un CD de la musique du film. Avec un fourreau dont s'extrait 4 superbes panneaux qui, dépliés offrent un objet qu'on peut appeler vraiment « Collector ». Concernant la HD, le film est au format 1.85:1, sur un BD 50, en 1080p et d'une durée complète de 108mn48. Un menu animé et avec bande son directe provenant d'une scène-clé, donne accès au film, aux versions ainsi qu'aux suppléments.

Dans cette section : pas de menu pop up permettant d'accéder à d'autres bonus pendant le déroulement d'un segment. Il faut obligatoirement revenir au menu intermédiaire. Et comme de mauvaise habitude pour cet éditeur, aucun accès aux 21 chapitres depuis le menu (vs 20 sur le DVD). A vous de vous débrouiller pour vous y repérer.

Video: On ne va pas chipoter : il s'agit de la plus belle copie existante, qui écrase avec une facilité déconcertante les DVD et autres possibilités de voir le film. Une HD éclatante en 1080p, aux détails palpables (chevelures, contours des visages, arrières-plans…). Malgré une photographie assez peu excitante, une robustesse notable des couleurs et des contrastes. On remarque une très forte mise en valeur de moments saisissants, comme les plans sur les yeux bleus perçants de Craig Hill. Les visages semblent sans aucune aspérité que cela en est presque suspect, mais la réduction de bruit reste quasiment inexistante. Absence de poussières quelconques ou de défauts apparents… du très beau boulot assorti d'un débit très régulier. Attention, la jaquette ne précise aucunement quel type de pistes sonores sont contenues dans l'édition, qu'il s'agisse du Blu Ray ou du DVD.

Audio : A l'inverse du Blu Ray de chez 88 Films qui donnait une piste en LPCM, nous avons droit ici à deux mixages non compressés en DTS HD MA 2.0 mono. Deux pistes, française et italienne (avec stf optionnels mais qui ne se choisissent pas du menu. Il faut les actionner depuis votre télécommande). Pour la version originale, le générique commence par de méchants craquements qui couvrent les premières notes du thème principal du film. S'ils s'atténuent par la suite, on les retrouvent malgré tout à intervalles réguliers (comme à 36mn56),- audibles notamment lors de scènes sans dialogue et sans musique. La musique mélancolico-agressive de Stelvio Cipriani a été interprétée en grande partie par Les Goblin, dont le label Cinevox demandait initialement beaucoup trop cher à la production pour la composition de la musique. L'ensemble demeure propre, sans bavure notable et résonne de manière superbe. Idem pour l'étrange choix de l'extrait du Sacre du Printemps de Stravinsky (entendu à partir de 73mn46). Les dialogues se détachent parfaitement du reste. Le rendu s'avère cependant beaucoup plus aigu que le doublage français, avec en quasi permanence un certain souffle.

La VF apparait beaucoup plus claire, moins brute que sa comparse italienne. Les effets sonores sont néanmoins moindres (par exemple lors de la conversation dans le train entre Lino Capolicchio et Stefania Casini, vers la 5e minute). Comme la version française demeurait incomplètes, cette édition propose certaines scènes en version originale avec sous-titres français. Comme le dialogue entre les carabiniers, vers la 73e minute : il est curieux De noter là aussi une nette différence de restitution sonore entre la piste italienne et l'insertion de ces plans dans la version française. On pointera quand même certains voix particulièrement désagréables à entendre, comme le doublage de la comédienne française Juliette Mayniel (LES YEUX SANS VISAGE quand même!) qui récite clairement ses dialogues en français mais se voit affublée d'une voix doublée particulièrement ignoble!

Suppléments : On nage clairement non pas dans la lagune vénitienne, mais dans un océan qualitatif difficilement égalable. Profondo Noir, avec Lino Capolicchio. Un acteur qui s'aime beaucoup et qui le fait savoir! Il livre monologue engageant (en italien avec stf), alerte, bourré de références sympathiques et avec des informations non négligeables - et amenées de manière très dramatique. A se demander où commence le travail de l'homme et ou finit celui de l'acteur. Il fut en effet selon lui le premier choix de Dario Argento pour jouer dans LES FRISSONS DE L'ANGOISSE, avant qu'un grave accident ne l'empêche de jouer (coupure de journaux à l'appui). Côté mise en scène, on sent le travail de Federico Caddeo qui opte pour les mêmes effets que pour le segment réalisé dans les suppléments du dvd de PULSIONS CANNIBALES avec Edoardo Margheriti.

Le Monstre de Venise - avec Antonio Bido. Ici, le réalisateur très volubile revient avec aisance sur l'histoire de la production. Plus de 30 minutes passionnantes font résonner un temps béni pour les auteurs italiens, où la créativité semblait bénéficier d'une certaine crédibilité de la part des producteurs en place. Un aspect curieux: Bido semble avoir évoluer dans ses commentaires : le précédent entretien sur le DV Z1 US faisait part de sa dette artistique envers Dario Argento. Rien de cela ici, hormis les références de ses titres qui demeurent des choix des distributeurs, mais pas du tout de son fait. Là aussi avec une mise en image de Caddeo via des éléments assez inventifs comparée aux autres suppléments réalisés pour d'autres éditeurs français ou étrangers. Comme cette insertion de la scène de la cascade dans le canal de Venise au sein de la photo de tournage, et en voix off les explications d'Antonio Bido. Simple, mais il fallait juste y penser.

Les photos du crime : via des photos de tournages, le réalisateur revient sur, parmi divers sujets, son travail avec les acteurs mais attention, il lâche un énorme spoiler en pleine description! Un autre morceau attend également les amateurs de suppléments: Antonio Bido parle de son dernier projet nommé DANZA MACABRA, sorte de videoclip sur fond de musique classique avec le jeune pianiste Axel Trolese, interprétant du Saint-Saëns et du Liszt - genèse et aboutissement de ce projet curieux, présenté pour la première fois via cette édition. Le court métrage, avec Manuela Morabito dans le rôle de la Mort, dure 14mn et suit après la présentation de son auteur.

Jean-François Rauger, l'actuel directeur de la Programmation pour la Cinémathèque Française, revient lui de manière extensive et analytique sur le film. Il réussit à replacer de manière brillante la carrière de l'auteur dans un contexte socio-économique transalpin. Non sans quelques inexactitudes, hélas. Mais là aussi, un bonus très agréablement filmé et monté.

L'éditeur initie en outre une série de bonus originaux avec l'intervention d'Olivier Père (Arte) sur ses 3 Gialli préférés avec arguments à la clé. Une belle réhabilitation de FRISSONS D'HORREUR, de ce fait!

Enfin, après les génériques début et fin alternatifs anglais, films annonce en vostf puis ceux des prochains films qui sortent chez Le Chat Qui Fume (en vo non stf), dont LA LONGUE NUIT DE L'EXORCISME au format et en italien non sous-titré, on retrouve l'idée sympa du film « en Mode VHS ». Donc en VF, générique anglais, couleurs délavées et sans aucun chapitrage, pour une durée complète de 91mn02 - ce qui fait bien rendre compte du charcutage dont le film a été victime lors de son exploitation française, comme… LES FRISSONS DE L'ANGOISSE. Décidément!

Pour les détenteurs d'un lecteur DVD, l'éditeur prévoit également dans cette édition Collector une version en format DVD (1.85:1 et 16/9e - durée de 108'43) avec également un menu similaire et les deux options audio précitées - mais en Dolby Digital Mono encodés sur deux canaux. A noter que là, le piste italienne demeure certes percluse de de grésillements, mais plus agréable à l'oreille concernant la restitution. La piste française se révèle plus en arrière et il faut augmenter le volume sonore afin d'en distinguer correctement les effets sonores et la musique. Un second DVD présente l'ensemble des bonus, car si vous cliquez sur la partie « bonus » du menu du premier DVD, un message renvoie au second DVD pour la vision des suppléments. Pour mémoire, la version THE BLOODSTAINED SHADOW sortie en DVD chez Anchor Bay en 2002 possède la version doublée anglaise (en partant du principe que tout a été doublé en post synchro en italien ou anglais, il n'y a donc pas vraiment de version dite « originale »!), d'une durée de 108mn53, ainsi qu'une passionnante interview d'époque d'Antonio Bido de 13mn.

Enfin, un 4e disque offre l'étrange composition de l'indispensable Maestro Stelvio Cipriani, opérant un travail charnière entre ses oeuvres mélodiques orchestrales et son glissement progressif vers la musique électronique. Dont LES VIERGES DAMNEES et TENTACULES représentent les deux autres pierre d'angle de ce basculement artistique. Cette composition regorge aussi de forts accents de rock progressif, résultant du jeu des Goblin. Un Cipriani décidément inhabituel, qu'il s'agisse de piano solitaire, de guitares, des synthés qui oscillent entre mélodies atmosphériques ou plus brutales. Le tout dans un style discordant avec des basses rythmées, lorgnant vers des moments disruptifs pour spectateur/audiophile amateur. Une très belle réussite à écouter sur 35 morceaux pendant 42 mn. A noter que le CD émergea en premier courant 1995 chez Lucertola puis en 2007 chez Digitmovies, avant de disparaitre. Et pour les amateurs hardcore de musique de films que la firme Death Waltz a réédité en Vinyl cette même composition sous le titre de THE BLOODSTAINED SHADOW, mais sur seulement 20 titres.

Et cerise sur le gâteau, pour celles et ceux qui commandent/ont précommandé sur le site de l'éditeur, l'envoi se garni d'un livret garni de photos de tournage, la plupart inédites.

En conclusion, l'édition française de TERREUR SUR LA LAGUNE écrase à plate couture les autres présentes sur le marché. Notamment l'édition anglaise de 88 Films, certes moins chère, mais avec moins de contenu - et qui plus est sans options francophones. Si la qualité du film demeure bien médiocre, celle de son édition est indiscutablement à la hauteur des espérances des fans du genre, avec un nombre et une qualité de suppléments qui en font un objet très recommandé.

Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
56 ans
1233 news
397 critiques Film & Vidéo
On aime
Une très belle copie HD
Une orgie de bonus
On n'aime pas
Un Giallo médiocre et mal branlé
Pas d’avertissement des spoilers lâchés par les intervenants dans les bonus
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L'édition vidéo
SOLAMENTE NERO Blu-ray Zone B (France)
Editeur
Le Chat qui Fume
Support
Blu-Ray (Double couche)
Origine
France (Zone B)
Date de Sortie
Durée
1h49
Image
1.85 (16/9)
Audio
Italian DTS Master Audio Mono
Francais DTS Master Audio Mono
Sous-titrage
  • Français
  • Supplements
    • Le Monstre de Venise, par Antonio Bido (36mn29)
    • Profondo Noir : entretIen avec Lino Capolicchio
    • Les Photos du Crime par Antonio Bido (10mn56)
    • Danza macabra par Antonio Bido (21mn22)
    • Mort à Venise par Jean-François Rauger (18’52)
    • TERREUR SUR LA LAGUNE en mode VHS (91mn02)
    • 3 Gialli, par Olivier Père (9mn22)
    • Générique Alternatif anglais (3mn07)
      • Films annonce
      • TERREUR SUR LA LAGUNE (3mn27)
      • TROPIQUE DU CANCER (2’47 - en allemand)
      • LA SOEUR D’URSULA (3mn42- en italien)
      • LA LONGUE NUIT DE L’EXORCISME (3’47 - en italien)
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