4. Dimanche 18 novembre
Habituellement, le dimanche, c'est un jour de repos. Mais avec le PIFFF, Paris International Fantastic Film Festival, ce dimanche 18 novembre était un nouveau petit marathon pour les cinéphiles. En effet, en début d'après midi, la projection de THE CLEANER nous a permis de découvrir un film en provenance du Pérou. Réalisé par un jeune cinéaste, le métrage surprend en raison de ses parti pris exigeants ou encore de par son sujet. En effet, le film nous fait partager la touchante relation entre un vieil homme et un enfant sur fond de pandémie. Mais nous vous invitons à lire notre chronique pour en savoir plus....
Le second film de la journée, vous l'aviez peut être déjà vu. Mais peut être pas sur grand écran ! Alors que Dario Argento sort en ce moment son DRACULA 3D en Italie, les organisateurs du festival ont choisi de passer QUATRE MOUCHES DE VELOURS GRIS, un giallo qui était devenu un peu difficile à trouver contrairement aux autres films de Dario Argento. Le choix de ce métrage est probablement dicté par la sortie prochaine du film en vidéo chez les revendeurs français mais revoir ce film dans une salle de cinéma a certainement dû faire plaisir à ceux qui ont fait le déplacement spécialement pour l'occasion. Pour notre part, nous avions du malheureusement sauter cette projection de manière à pouvoir interviewer le réalisateur de THE CLEANER.
Second 
      film en compétition à être projeté en ce dimanche, CITADEL 
      se montre un peu décevant. Le film est honnêtement mis en boîte, on ne peut 
      que le reconnaître. Mais l'engouement suscité depuis quelques temps pour 
      ce film paraît assez exagéré face à cette production britannique qui n'apporte 
      finalement pas grand chose de plus que ce que l'on a pu voir ces dernières 
      années en provenance de Grande Bretagne. Nous argumenterons un peu plus 
      prochainement au travers d'une chronique. Par contre, on notera que comme 
      toutes les séances de 19h30 depuis le début du festival, un court-métrage 
      était présenté en préambule. Toutefois, celui-ci n'avait absolument rien 
      à voir avec CITADEL. 
      L'univers de LA VITESSE DU PASSE étant très éloigné du long métrage 
      qu'il précèdait en nous proposant de découvrir un étrange incident 
      qui mettait un terme à un couple, l'un des deux continuant sa vie alors 
      que l'autre restait figé dans le temps, sorte de métaphore à propos du souvenir 
      d'un amour passé. Surprenant de prime abord et doté d'effets spéciaux numériques 
      de qualité, ce court ne nous a pas forcément convaincu sur la longueur. 
      Mais peu importe puisque l'initiative de passer des compléments de programme 
      inattendus fait un peu office de cadeau aux spectateurs qui auront fait 
      l'effort de se déplacer ! Mais vous en revenir à CITADEL, 
      vous pouvez aussi lire notre chronique en cliquant sur l'affiche ci-dessous...
Pour 
      finir la journée, le festival nous proposait de découvrir en relief DRAGON 
      GATE, LA LEGENDE DES SABRES VOLANTS 3D. Ceux qui n'auront pas fait 
      le déplacement n'auront probablement jamais l'opportunité de le revoir de 
      cette manière. Et ce même si quelques petits couacs ont émaillé la projection, 
      les plus malins auront simplement fermé un œil durant la poignée de secondes 
      incriminée pour continuer à suivre le film. DRAGON 
      GATE, LA LEGENDE DES SABRES VOLANTS 3D devrait donc être distribué 
      directement en vidéo l'année prochaine par Metropolitan avec, peut 
      être, un Blu-ray 3D. Mais quoi qu'il en soit, cela ne remplacera certainement 
      pas un Jet Li 
      virevoltant sur un écran de taille impressionnante ! De plus, même s'il 
      s'agit d'un remake de L'AUBERGE 
      DU DRAGON, les ressorts de l'histoire s'avèrent très éloignés de 
      la précédente adaptation cinématographique comme on vous en fait part dans 
      notre chronique du film...
Enfin, en complément, vous pouvez retrouver une chronique de QUATRE MOUCHES DE VELOURS GRIS, d'après une édition DVD, ci-dessous ainsi que que celle de L'AUBERGE DU DRAGON...
 
      
 
      
 
      
 
      