CRITIQUE : VENDREDI 13 (CINEMA)

19 février 2009 
CRITIQUE : VENDREDI 13 (CINEMA)

Sorti la semaine dernière sur les écrans français, VENDREDI 13 n'est bien évidemment pas le remake du tout premier VENDREDI 13 réalisé par Sean S. Cunningham. En effet, le film pouvait difficilement revenir aux sources d'une franchise qui a construit son tueur mythique au fur et à mesure des épisodes avant que celui-ci ne s'impose définitivement comme une icône du genre. S'il y a bien un clin d'œil à l'original, celui-ci peut, en réalité, tout autant provenir du prologue du second métrage où Jason faisait ses premières armes. Antoine Rigaud a vu le film au cinéma et le passe au crible dans sa chronique en citant, comme par hasard, les quelques rares VENDREDI 13 que nous n'avons jamais chroniqué. Nous allons nous rattraper, c'est promis sur tout que les deuxième et troisième épisode de la saga viennent de sortir en Blu-ray un peu partout en Europe (sauf au France pour l'instant). Des disques présentant les films en haute définition de très belle façon et qui disposent des versions françaises mais aussi de sous-titrages dans notre langue que ce soit pour les films mais aussi tous les suppléments. Hélas, le troisième film, MEURTRES EN TROIS DIMENSIONS, n'est pas présenté en 3D au contraire du DVD américain qui est sorti, lui aussi, à l'occasion de l'arrivée dans les salles du nouveau Jason. C'est promis, on vous chronique très prochainement ces deux films, c'est juré ! En attendant, vous pouvez donc lire la chronique du film actuellement en salles en cliquant sur l'affiche…

Et pour se rafraîchir la mémoire, voici les VENDREDI 13 déjà chroniqué.


Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
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