CRITIQUE : TARANTULA

8 février 2007 
CRITIQUE : TARANTULA

Après s'être fait tout petit, Xavier Desbarats reprend sa taille normale et, pourtant, il est toujours confronté à une araignée de taille démesurée. De manière très logique, après sa chronique de L'HOMME QUI RETRECIT, il passe à un autre film de Jack Arnold qui n'est autre que le fameux TARANTULA. Ces deux disques ont été distribués un peu partout en Europe mais TARANTULA brille par son absence sur le territoire français. Pour ceux qui sont vraiment fans de Science-fiction et que l'import ne rebute pas, il faut aussi noter que Universal a sorti aux Etats-Unis un triple DVD reprenant L'HOMME QUI RETRECIT et TARANTULA mais aussi LE PEUPLE DE L'ENFER, THE MONOLITH MONSTERS et MONSTER ON THE CAMPUS. Si les deux DVD européens ne comportaient absolument aucun supplément, les disques américains proposent tout de même les bandes-annonces (mais rien d'autre pour autant). Notez que ce coffret était sorti en septembre 2006 en exclusivité pour la chaîne de magasins Best Buy ce qui pouvait poser problème pour se le procurer hors des Etats-Unis. Toutefois, depuis le début du mois de janvier, Amazon propose ce coffret aux environs d'une vingtaine de dollars (frais de port non compris).
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Rédacteur : Christophe Lemonnier
Photo Christophe Lemonnier
Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même.
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