CRITIQUE CANNES 2018: MEURS, MONSTRE, MEURS

23 mai 2018 
CRITIQUE CANNES 2018: MEURS, MONSTRE, MEURS

MEURS, MONSTRE MEURS (MUERE, MONSTRUO, MUERE) est une production véritablement... monstrueuse.

Le nouveau film d'Alejandro Fadel (LOS SALVAJES) parle de décapitations de femmes au fin fond des Andes... et d'une créature monstrueuse qui rôde aux alentours. Le tout emballé dans un fourreau auteur aux fulgurances visuelles et d'éclats gores.

Un objet filmique non identifié qui a été présenté dans la section Un Certain Regard lors du Festival de Cannes 2018 et que nous avons pu voir. Le film possède un distributeur mais n'a pas encore de date de sortie française précise - hormis le fait qu'elle sera début 2019. 

Compte-rendu sanguinolent:

Critiques
Rédacteur : Francis Barbier
Photo Francis Barbier
Dévoreur de scènes scandinaves et nordiques - sanguinolentes ou pas -, dégustateur de bisseries italiennes finement ciselées ou grossièrement lâchées sur pellicule, amateur de films en formats larges et 70mm en tous genres, avec une louche d'horreur sociale britannique, une lampée d'Albert Pyun (avant 2000), une fourchettée de Lamberto Bava (forever) et un soupçon de David DeCoteau (quand il se bouge). Sans reprendre des plats concoctés par William Friedkin pour ne pas risquer l'indigestion.
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